Comme ce plaisir de rentrer d’une journée de plein
air.
De quoi se réchauffer l’âme avec la chaleur humaine.
C’est le fruit d’une fornication du jazz avec la pop.
A se croire au fond d’une taverne du vieux Londres.
A se croire au fond d’une taverne du vieux Londres.
Et s’oublier sur le
comptoir d’un pub de la Nouvelle-Orléans.
Comme une envie de balancer sa télé par la fenêtre.
De larguer sans regret Anastacia pour Norah Jones.
Et s’enfermer à huis clos avec sa conscience.
C’est à se blottir sous
sa couette.
Pour se perdre dans ses
pensées.
Et se souvenir de ses
baisers.
Il y a de quoi aimer la
fraîcheur de l’automne.
De voir la vie avec des yeux impressionnistes.
De voir la vie avec des yeux impressionnistes.
De ne jamais sortir sans sa
palette de sentiments.
C’est à croire que le Liban est un pays comme les
autres.
Oublier que les éléphants volent et les aigles
espionnent.
Penser à cohabiter Jésus
et Mahomet dans un même titre.
Et ne pas consulter son facebook pendant 6min17s.
Et ne pas consulter son facebook pendant 6min17s.
C’est
une délicieuse chanson.
Un
merveilleux clip.
Une
superbe ambiance.
En plein Beyrouth, au Chaplin à Mar Mikhael.
C’est « Iron Bell Golden Voice » de OAK.
Réalisé
par Tony H. Khoury.
A déguster avec un Bordeaux rouge 2009, le millésime hédoniste.
Ou un Bourgogne 2010, le millésime classe.
Or whatever, même un San Pellegrino.
Le nouveau Beaujolais c’est pour bientôt.
Bravo à toute l’équipe.
A votre santé !